Les statistiques sont unanimes : avec ses 13 millions de contrats en France, l’assurance-vie est au top du classement des placements français. Rien d’étonnant étant donné ses avantages multiples, sa facilité d’usage et la fiscalité qu’elle génère.
Assurance vie : modalités de fonctionnement
Le dispositif qu’est l’assurance-vie génère comme conséquence : la possibilité au souscripteur d’élaborer le capital nécessaire pour un projet de vie ou la transmission dudit capital à un bénéficiaire. Tout cela en accédant en parallèle à des avantages fiscaux. L’épargne est constituée au rythme du souscripteur, aucune contrainte et dépensée comme il le souhaite. Cette souscription est en outre accessible à tous les citoyens français.
En tant qu’assurance-vie, des dispositions sont prises en cas de décès du souscripteur. Assurément Invest informe sur lesdites dispositions. À la signature du contrat, le souscripteur désigne le bénéficiaire du capital s’il décède. Y sont incluses en prime des conditions fiscales avantageuses.
Cas de rachat : la fiscalité en vigueur
Suite à la reforme effectuée le 27 septembre 2017, deux cas de figure se présentent. La première concerne les versements faits après la date. Le souscripteur y jouit du Prélèvement forfaitaire unique (PFU). En d’autres termes, l’épargne n’est plus soumise aux 8 années de blocages pour que son possédant puisse profiter de la baisse d’impôt au niveau des plus-values.
Lorsque les versements ont été placés avant ce 27 septembre 2017. L’impôt ne touche qu’aux intérêts. D’ailleurs, le rachat total engendre des intérêts égalant à la différence entre : valeur du contrat racheté et montant total des versements. Pour sa part, le rachat partiel impose comme intérêt : le décalage entre la somme de l’investissement et le capital acquis.